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SALMAGNE : quand nos DÉCIDEURS CREUSENT, les BELGES CONSTRUISENT.
À vingt kilomètres de Maubeuge, Google a officialisé hier un investissement de 5 milliards d’euros en deux ans pour agrandir ses data centers de Saint-Ghislain, et orienter ces sites vers l’intelligence artificielle.
50 hectares, 600 emplois déjà en place.
300 emplois supplémentaires d’ici deux ans, des partenariats énergétiques solides, une alimentation en eau et en électricité parfaitement dimensionnée : bref, un projet cohérent, financé, et inscrit dans une stratégie industrielle claire.
Pendant ce temps, à la Salmagne, l’agglo s’acharne à creuser.
Un site sans eau, sans courant, sans accès !
Le tout sous couvert de “préparation” à un futur technobidule dont personne ne connaît ni le financement, ni les besoins réels, ni même la cohérence avec les réseaux existants.
Et, désormais, du président Baudoux au vice-président Decagny, ils s’obligent à reconnaître l’évidence : aucun client, aucun investisseur, aucun projet concret.
Juste du vent — pour de futures éoliennes.
Le contraste est saisissant.
D’un côté, la Wallonie anticipe, investit, forme, raccorde.
De l’autre, on multiplie les effets d’annonce, les fouilles archéologiques et les promesses d’attractivité sans substance.
Chaque communiqué devient un pansement sur l’absence de vision, chaque chantier une diversion.
Ce n’est pas une question de frontière, mais de méthode.
Les Belges ont fait le choix d’une économie numérique ancrée dans la réalité : énergie, infrastructures, compétences.
Ici, l’on communique, on se considère stratège.
En réalité, on improvise.
Chaque annonce tient lieu de plan, chaque photo de projet
L’intelligence artificielle se construit à vingt kilomètres d’ici.
L’intelligence politique, elle, reste à inventer.
Ma promesse : ça va changer !
Sophie
50 hectares, 600 emplois déjà en place.
300 emplois supplémentaires d’ici deux ans, des partenariats énergétiques solides, une alimentation en eau et en électricité parfaitement dimensionnée : bref, un projet cohérent, financé, et inscrit dans une stratégie industrielle claire.
Pendant ce temps, à la Salmagne, l’agglo s’acharne à creuser.
Un site sans eau, sans courant, sans accès !
Le tout sous couvert de “préparation” à un futur technobidule dont personne ne connaît ni le financement, ni les besoins réels, ni même la cohérence avec les réseaux existants.
Et, désormais, du président Baudoux au vice-président Decagny, ils s’obligent à reconnaître l’évidence : aucun client, aucun investisseur, aucun projet concret.
Juste du vent — pour de futures éoliennes.
Le contraste est saisissant.
D’un côté, la Wallonie anticipe, investit, forme, raccorde.
De l’autre, on multiplie les effets d’annonce, les fouilles archéologiques et les promesses d’attractivité sans substance.
Chaque communiqué devient un pansement sur l’absence de vision, chaque chantier une diversion.
Ce n’est pas une question de frontière, mais de méthode.
Les Belges ont fait le choix d’une économie numérique ancrée dans la réalité : énergie, infrastructures, compétences.
Ici, l’on communique, on se considère stratège.
En réalité, on improvise.
Chaque annonce tient lieu de plan, chaque photo de projet
L’intelligence artificielle se construit à vingt kilomètres d’ici.
L’intelligence politique, elle, reste à inventer.
Ma promesse : ça va changer !
Sophie